Il a voulu être connu comme aquarelliste, pourtant sa carrière de peintre aurait pu prendre un tout autre tournant si la peinture à l'acrylique était apparue plus tôt… Puisque sa carrière de communicateur lui laissait le loisir d'explorer à sa guise le monde de la peinture, il a pu expérimenter avec plusieurs techniques et outils. De l'aquarelle qu'il a apprise au temps des beaux-arts, à l'encre de ses dessins, aux montages d'acétates prêts à photographier, à la gouache et crayons à colorier des pages couvertures, il s'est tenu informé de l'évolution constante des outils de création. Il a choisi de développer l'aquarelle mais, tout au cours de sa carrière il a toujours cultivé le plaisir esthétique de caresser les lignes.
Simplifier, styliser, éliminer les détails superflus, se préoccuper de la fluidité de la forme, ce plaisir du trait pur s'exprime naturellement avec l'encre, la gouache et l'acrylique. Bien sûr, en diluant suffisamment ces médiums on peut toujours les traiter à la manière de l'aquarelle mais sans parvenir à sa transparence ou sa fluidité. C'est donc par opposition à l'aquarelle, en choisissant un dessin net et épuré, inspiré de l'hommage à Saint-François ou de concepts décoratifs de peintures murales, qu'il aborde ce projet.
Dans les images créées pour le poème de "la romance du vin" d'Émile Nelligan, Ladouceur libère sa main pour qu'elle s'exprime en formes gracieuses, pour qu'elle retrouve une aisance oubliée et délimite en courbes élégantes les espaces colorés qui constituent les dessins.
Simplifier, styliser, éliminer les détails superflus, se préoccuper de la fluidité de la forme, ce plaisir du trait pur s'exprime naturellement avec l'encre, la gouache et l'acrylique. Bien sûr, en diluant suffisamment ces médiums on peut toujours les traiter à la manière de l'aquarelle mais sans parvenir à sa transparence ou sa fluidité. C'est donc par opposition à l'aquarelle, en choisissant un dessin net et épuré, inspiré de l'hommage à Saint-François ou de concepts décoratifs de peintures murales, qu'il aborde ce projet.
Dans les images créées pour le poème de "la romance du vin" d'Émile Nelligan, Ladouceur libère sa main pour qu'elle s'exprime en formes gracieuses, pour qu'elle retrouve une aisance oubliée et délimite en courbes élégantes les espaces colorés qui constituent les dessins.