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    Margot

     

    Victime de la plume maligne de Jean-Paul
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    Entre deux consoeurs

     

    Margot entre deux consoeurs devant les plâtres classiques, hantise des étudiants.
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    Dédicace

    "À matines" poème de Marie Noël

    exemple de la calligraphie de Jean-Paul
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    "quelque lumière sourde..."

    "À matines" poème de Marie Noël

    Une illustration adaptée pour chaque strophe
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    "et dans l'odeur de thym..."

    "À matines" poème de Marie Noël

    Chaque dessin est à la fois symbolique et surréaliste.
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    Les époux

     

    Jean-Paul et Margot à Hull devant leur nouvel appartement.
Elle est née, Marguerite Gingras en 1923 aux États-Unis, fille d’une franco-américaine et d’un pur québécois. Elle a vécu ses premières années dans ce grand pays qui aurait dû être le sien. La grande dépression de 1929 en a décidé autrement.

Incitée par sa mère, elle s’est inscrite à l’École des Beaux-Arts de Montréal, une institution dont la réputation était suspecte à l’époque. Elle s’y est démarquée par sa personnalité, son talent, et son entregent. C’est là qu’elle a connu son futur mari, Jean-Paul Ladouceur.

Leurs fréquentations se sont déroulées avec un conflit mondial pour fond de décor, lui à Ottawa participant à l’effort de guerre, elle, à Montréal, complétant ses études. En cadeau de fiançailles, Jean-Paul illustre pour Margot un poème de Marie Noël qu'il accompagne de calligraphie unique et d'enluminures. À la fin du conflit, ils se marient et s'établissent à Hull.

Quand Marguerite devient Margot…